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Née des eaux froides d’un lac, l’ondine Rusalka aspire à devenir une femme par amour pour un prince dont elle s’est éprise. La sorcière qui accepte de l’aider la met en garde. Sa transformation se paiera au prix fort : non seulement elle devra renoncer à sa voix, mais un échec amoureux entraînerait sa damnation éternelle.
Conte lyrique inspiré en partie de La Petite Sirène d’Andersen, l’avant-dernier opéra d’Antonín Dvořák, créé à Prague en 1901, déploie une musique envoûtante, à l’orchestration aussi scintillante que la lune argentée qui fait miroiter les ondes.
Se glissant dans cet univers organique et poétique, Robert Carsen conçoit une mise en scène d’une grande inventivité visuelle : par un jeu de symétries et de dédoublements, il évoque autant les reflets dans l’eau que le miroir du rêve, révélant l’impasse d’une transgression contre-nature.
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Rusalka : Créature aquatique surnaturelle
L’esprit du lac (l’ondin) : Père de Rusalka
Le prince : Humain dont Rusalka s’est éprise
La princesse étrangère : Rivale humaine de Rusalka
Ježibaba : Une sorcière
Trois naïades : Soeurs de Rusalka
Le garde forestier, Le garçon de cuisine : Serviteurs au château royaldescription
Acte 1
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Acte 2
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Acte 3
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Équipe artistique
Musique Livret Jaroslav Kvapil
Direction musicale Mise en scène et lumières Décors et costumes Lumières Chorégraphie Chef des Chœurs