La Danse macabre

Violon dans le soir - poème d'Anna de Noailles

Extase - poème de Victor Hugo

Mélodies persanes op.26 n°1, La brise - poème d'Armand Renaud

Mélodies persanes op.26 n°1, Le Tournoiement (Rêve d'orient) - poème d'Armand Renaud

Clair de lune - poème de Catulle Mendès

Chanson napolitaine - poème de Jules Barbier et Michel Carré

Suzette et Suzon - poème de Victor Hugo

L'Étoile - poème du Prince Haïdar-Pacha

Le Soir - poème de Madeleine Desbordes-Walmore

Viens ! - poème de Victor Hugo

El Desdichado

Ave Maria en La Majeur

Le Carnaval des animaux, Le Cygne

Élégie op.160

Les artistes en résidence à l’Académie rendent hommage à l’un des compositeurs français les plus prolixes de son siècle. Contemporain de Victor Hugo, Camille Saint-Saëns est peut-être le musicien le plus proche des poètes de son temps.De la célèbre Danse macabre au Carnaval des animaux, retrouvez parmi ses œuvres les plus célèbres et les plus virtuoses pour voix et musique de chambre. Visuel : © Studio j’adore ce que vous faites / OnP

Concert Saint-Saëns

Les artistes en résidence à l’Académie rendent hommage à l’un des compositeurs français les plus prolixes de son siècle. Contemporain de Victor Hugo, Camille Saint-Saëns est peut-être le musicien le plus proche des poètes de son temps. De la célèbre 

Camille Saint-Saëns

Né à Paris le 9 octobre 1835, Camille Saint-Saëns manifeste très tôt des dons pour la&nbsp;musique.Enfant prodige tant au piano et&nbsp;à&nbsp;l’orgue qu’en composition, il donne à quatre ans et demi son premier récital privé (dont le&nbsp;Moniteur universel du 1er août 1840 donne un&nbsp;compte-rendu) et, à onze ans, il&nbsp;se&nbsp;produit en&nbsp;public Salle Pleyel. Il entre au&nbsp;Conservatoire à&nbsp;treize ans et remporte le&nbsp;premier prix d’orgue en 1851. À dix-huit ans, il est nommé organiste de l’église Saint-Merri et crée sa première symphonie. En 1857, il&nbsp;devient titulaire des&nbsp;orgues Cavaillé-Coll de&nbsp;l’église de&nbsp;La&nbsp;Madeleine, poste qu’il occupera pendant vingt ans. Liszt saluait en Saint-Saëns «le&nbsp;premier organiste du monde». De 1861 à&nbsp;1865, il&nbsp;enseigne le piano à l’École Niedermeyer, à Paris, où il a comme élèves Gabriel Fauré et André Messager. Bien qu’il&nbsp;échoue à deux reprises au concours du&nbsp;Prix de Rome, il acquiert rapidement une grande notoriété. En tant que compositeur, il&nbsp;s’est illustré dans tous les domaines&nbsp;: douze opéras, dont La Princesse jaune (1872), Samson et Dalila (1877), Henri VIII (1883), Déjanire (1911), des&nbsp;œuvres religieuses, dont une Messe solennelle et un Requiem, de nombreux oratorios, des poèmes symphoniques (Le Rouet d’Omphale, 1871; Phaéton, 1873; La Danse macabre, 1875), cinq symphonies dont la&nbsp;dernière, dite n° 3, avec orgue (1886), cinq&nbsp;concertos pour piano, trois concertos pour violon et deux pour violoncelle, de&nbsp;la musique de chambre, des pièces pittoresques (Le Carnaval des animaux, 1886), etc. En 1908, il est le premier compositeur de&nbsp;renom à écrire une musique de film, pour L’Assassinat du duc de Guise. En plus de ses propres travaux de&nbsp;composition, il collabore à&nbsp;l’édition des&nbsp;œuvres de Gluck, de Beethoven, de&nbsp;Liszt, de Mozart et, dans les années 1870, il&nbsp;écrit régulièrement dans les journaux, notamment La Gazette musicale. En&nbsp;1871, il&nbsp;fonde la&nbsp;Société nationale de musique avec Romain Bussine, Alexis de Castillon, Gabriel Fauré, César Franck, Louis Lalo. La société encourage la musique française et créera des&nbsp;œuvres de Saint-Saëns, Chabrier, Debussy, Dukas et Ravel. En 1886, il rompt avec la Société nationale de&nbsp;musique, parce qu’on y décide de&nbsp;jouer les&nbsp;compositeurs étrangers. En 1901, il&nbsp;est élu président de l’Académie des Beaux-Arts. Polyglotte, il a le goût des voyages et parcourt les continents pour donner des concerts et&nbsp;des&nbsp;récitals, assister aux représentations de&nbsp;ses œuvres et promouvoir la musique et&nbsp;la&nbsp;culture française. À partir de 1873, il&nbsp;séjourne régulièrement en Algérie et&nbsp;en&nbsp;Égypte. Il&nbsp;meurt&nbsp;à Alger le 16 décembre 1921.

En résidence à l’Académie de l’Opéra national de Paris de 2019 à 2021



Née en Suisse, Andrea Cueva Molnar commence ses études musicales dans la classe de Carmen Casellas au Conservatoire de musique de Montreux-Vevey-Riviera. Après l’obtention de son baccalauréat en 2012, elle rejoint la Haute école de musique de Genève. En 2014, elle poursuit sa formation à la Hochschule für Musik und Darstellende Kunst de Francfort auprès de Hedwig Fassbender puis de Klesie Kelly-Moog. Entre 2016 et 2019, elle chante dans cinq productions jeune public à l’Opéra de Francfort : Onéguine pour les enfants, Tosca pour les enfants, Les Noces de Figaro, La Bohème et Die Kleine Opernwelt. En juillet 2019, dans le cadre du Junge Oper Schloss Weikersheim, elle interprète le rôle de Mimi dans La Bohème. Prix de l’Adami en 2018, elle remporte le deuxième prix féminin catégorie Opéra aux Nuits lyriques de Marmande en 2020. Andrea Cueva Molnar rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2019. Elle participe à la tournée en Chine de l’Académie et se produit alors au Grand Théâtre de Shanghaï, au Poly Theater de Shenyang et au Jiangsu Art Theater de Nanjing. Elle est la Princesse de L’Enfant et les sortilèges de Ravel sur la scène du Palais Garnier début 2020. Pour sa deuxième saison à l'Académie, elle interprète le rôle de Belinda dans Didon et Énée au Festival « Voix d'Automne » à Evian, sous la direction de Leonardo García Alarcón, et le rôle de Female Chorus dans Le Viol de Lucrèce au Théâtre des Bouffes du Nord. Au cours de la saison 2021-2022, elle chante Silvia dans L'isola disabitata à l'Opéra de Dijon puis Poussette dans Manon, une jeune fille dans Les Noces de Figaro et une fille-fleur dans Parsifal à l’Opéra national de Paris.

Cueva Molnar.Andrea (c) Ariel Leuenberger

Formée à l’Académie de l’Opéra national de ParisNée en Normandie, Marie-Andrée Bouchard-Lesieur se forme auprès de Maryse Castets au Conservatoire de Bordeaux après avoir suivi des études à Sciences Po Bordeaux. Elle intègre l’Académie de l’Opéra national de Paris de 2019 à 2021. Elle participe au Young Singers Project du Festival de Salzbourg ou elle est la Deuxième Dame (Médée de Cherubini) avec le Wiener Philharmoniker et se produit en récital avec l’Orchestre du Mozarteum. Nommée parmi les révélations artiste lyrique des Victoires de la Musique, elle chante notamment Geneviève (Pelléas et Mélisande) et Ethel (Les Éclairs) à l’Opéra Comique, la Troisième Dame (La Flûte enchantée) au Théâtre du Capitole de Toulouse, Mère Marie (Dialogues des carmélites) à l’Opéra national de Bordeaux. En 2023-2024, elle est Siegrune (La Walkyrie) à La Monnaie de Bruxelles, Mrs Meg Page (Falstaff) à l'Opéra royal de Wallonie, Marguerite (Le Retour de Virginie) avec l’Orchestre national de Lyon. Cette saison, Marie-Andrée Bouchard-Lesieur est l’alto dans la Deuxième Symphonie de Mahler avec l’Orchestre de Paris sous la direction de Esa-Pekka Salonen et dans une mise en scène de Romeo Castellucci, Néris (Médée de Cherubini) à l’Opéra Comique et à l’Opéra de Montpellier. Elle est également l'alto dans Israël en Egypte au Haendel Festspiele Halle sous la direction d'Hervé Niquet et enregistre des mélodies de Massenet pour le Label Bru Zane.







À l’Opéra national de Paris : L’Enfant et les Sortilèges (la Libellule, la Tasse chinoise, Maman), 2020 ; Le Viol de Lucrèce (Lucretia), 2021 ; Parsifal (Ein Klingsors Zaubermadchen, Ein Knappe), 2022 ; Wozzeck (Margret), 2022 ; La Flûte enchantée (Deuxième Dame), 2022 ; Le Trouvère (Ines), 2022 ; Falstaff (Mrs Meg Page), 2024

Bouchard-Lesieur.Marie-Andrée © 

Né à Chicago, Alexander York est diplômé de la Lawrence University (Wisconsin). Il remporte de nombreuses bourses d’étude comme celle de la Hanns Seidel Foundation, de l’arte-musica Foundation et du Fulbright Zscholar Program qui lui permettent de poursuivre sa formation en Europe. Il obtient un master à la Musikhochschule de Munich sous la direction de Lars Woldt, Rudi Spring, et Donald Sulzen. Au Théâtre d’Augsburg, il interprète les rôles suivants : Angelotti et Sciarrone de Tosca, le Capitaine de Simplicius Simplicissimus de Karl Amadeus Hartmann, Weickmann et Fuhrmann de Kaspar Hauser de Hans Thomalla, le héraut d’Otello de Verdi ainsi que Belcore de l’Elisir d’amore de Donizetti. En 2016, il participe aux masterclasses de Renée Fleming à l’Aspen Music Festival and School. Il crée le rôle de James Ramsey lors de la première mondiale de To the Lighthouse de Zesses Seglias, en août 2017 au festival de Bregenz. Il donne un récital au Muziekgebouw d’Amsterdam et se produit en concert à Munich avec le Munich Radio Symphony. Il interprète le rôle de Bedienter de Der zerbrochene Krug de Viktor Ulmann. Pour sa première saison à l’Académie de l’Opéra national de Paris, le baryton interprète le Dr Falke de La Chauve-souris de Johann Strauss à la MC93 de Bobigny puis en tournée. En janvier 2020, il est l’Horloge et le Chat de L’Enfant et les sortilèges de Ravel sur la scène du Palais Garnier. En tant que jeune artiste en résidence au Central City Opera de Denvers en 2015, il reçoit le John Moriarty Award pour sa participation aux productions de la compagnie. La Bel Canto Society de Chicago lui décerne un prix d’honneur et il reçoit le deuxième prix de la catégorie Mélodie et Oratorio de l’American Prize. Alexander York rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2018.

York

Formé à l’Académie de l’Opéra national de ParisDiplômé de l’Université d’Aberdeen en 2016, Niall Anderson poursuit ses études à l’Académie royale de Musique de Londres. Il participe alors à de nombreux concours et reçoit notamment le Prix Pavarotti en 2019. Son répertoire comprend les rôles d’Énée (Didon et Énée), de Figaro (Les Noces de Figaro), Escamillo (La Tragédie de Carmen de Marius Constant), Somnus (Sémélé) et Bertrand (Iolanta). Il participe à plusieurs concerts en Europe, dont La Passion selon saint Jean de Bach, à Würselen, en Allemagne. Particulièrement intéressé par la musique contemporaine, il interprète la partie de baryton de la Symphonie n°1 (Passiontide) de Paul Mealor lors de sa création au Pays de Galles. Il chante la Messe « Nelson » de Haydn, le Requiem de Mozart et la Petite Messe solennelle de Rossini. Il interprète l’Orateur de La Flûte enchantée à l’Académie royale de Musique de Londres. En septembre 2020, Niall Anderson rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris, pour deux saisons. Il a récemment interprété les rôles de Allazim (Zaide) à l’Opéra de Rennes et à Angers Nantes Opéra et le Sacristain (Tosca) et Knyaz Gremin (Eugène Onéguine) au Northern Ireland Opera.







À l’Opéra national de Paris : A Quiet Place (Mourner), 2022 ; La Flûte enchantée (Erster Priester, Zweiter Geharnischter Mann), 2022, 2024

Anderson.Niall (c)

Originaire de Caroline du Nord, Aaron Pendleton commence sa formation musicale à l’Université du Nevada de Las Vegas, puis poursuit à l’Université Johnson C. Smith et à l’Université d’État de l’Arizona. Il participe à de nombreuses master classes, dont celles de Sherrill Milnes. En 2019, il participe à la création de 27 de Ricky Ian Gordon, à l’Opéra de Las Vegas. À l’Opéra Studio de l’Université du Nevada, à Las Vegas, il chante Leaf de State of Grace de Linda Lister, le père de Sky de No Guarantees de Cynthia Wong et le Marquis de la Force des Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc. En 2020, à l’Opéra de Las Vegas, il interprète l’Orateur de la Flûte enchantée de Mozart et Olin Blitch de Susannah de Carlisle Floyd. Premier prix du Concours du Metropolitan Opera en Arizona et finaliste de ce même concours à Denver (Colorado) en 2019, Aaron Pendleton rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2020.

Né à Paris, Yoan Brakha commence le violon à l’âge de 8 ans. Il reçoit de nombreux prix pour jeune violoniste avant d’obtenir ses diplômes et distinctions au conservatoire d’Aulnay-Sous-Bois et à la Schola Cantorum de Paris. Il étudie à l’Universität Der Künste de Berlin et auprès de Marc Danel au Conservatoire national supérieur de Musique de Lyon, où il obtient son Master. Il est soliste avec l’Orchestre de Chambre de Montpellier et l’Orchestre du Centre Philharmonique. Passionné de musique de chambre, il a partagé la scène avec des artistes tel que Marc Danel, Yovan Markovitch, Jean Sulem, Claudio Bohotquez, Christoph Richter, Konstantin Bogino, Miguel Da Silva et Tanja Becker-Bender. Lauréat de la bourse Mécénat Musical Société Générale et de la bourse ADAMI, il s’est produit dans plusieurs pays d’Europe, apparaissant au Kuhmo Chamber Music Festival (Finlande), Crans Montana festival (Suisse), Ortús Chamber Music Festival (Irlande). Il travaille avec de nombreux artistes internationaux comme Shlomo Mintz, Hagai Shaham, Jean-Marc Phillips, Olivier Charlier, Silvia Marcovici, Guillaume Sutre et Bruno Pasquier. Yoan Brakha rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2019.

YOHAN BRAKHA 

Roxanne Rabatti commence le violon à l’âge de 5 ans à l’école de musique de Rodez et obtient son Diplôme d’études musicales à 17 ans, au Conservatoire de Toulouse. Entrée au Conservatoire national Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP) en 2015, elle y obtient sa licence en 2017, en ayant travaillé dans la classe de Boris Garlitsky, et son diplôme de Master en mai 2020 auprès d’Alexis Galpérine. Particulièrement attirée par l’orchestre et la musique de chambre, elle rejoint l’Orchestre français des Jeunes pour trois ans. Elle co-fonde le Quatuor Kalik en 2018 et travaille auprès de Jean Sulem, dans le cursus de Licence de quatuor à cordes au CNSMDP. Avec cet ensemble, elle travaille aussi auprès du Quatuor Debussy et de Luc-Marie Aguera. La pédagogie prend une place importante dans son évolution musicale, elle enseigne le violon au Conservatoire de Villeneuve-La-Garenne depuis 2016. Roxanne Rabatti rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2020.

Originaire de Calgary au Canada, Julien Siino commence le violoncelle à l’âge de cinq ans. Après l’obtention d’une licence au Conservatoire de musique de Québec auprès de Leslie Snider, il entre en master au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris dans la classe de Michel Strauss et Guillaume Paoletti.&nbsp;Lors de différentes académies d’été et master classes, il a l’opportunité de jouer avec des musiciens de renom tels que Philippe Muller, Julian Steckel, Lluis Claret, Xavier Phillips, Emmanuelle Bertrand, Raphael Wallfisch, Roel Dieltiens, Daniel Müller-Schott, Claudio Bohorquez et Antonio Meneses. Premier prix du Concours de musique du Canada en 2017, il reçoit le premier prix de la cinquième édition du Concours international Agustin Aponte (Espagne) en 2020.&nbsp;Soliste et chambriste dans de nombreux ensembles, il joue dans d’importantes salles de concert américaines et européennes notamment avec l’Orchestre national des jeunes du Canada, l’Orchestre des Amériques, le Collegium Musicum de Pommersfelden le Nationaal Jeugd Orkest ou encore les Violons du Roy, l'Orchestre symphonique de Québec et l’Orchestre philharmonique de Radio-France. Il joue actuellement sur un violoncelle Auguste Sébastien Bernardel de manufacture parisienne de 1838 et avec un archet Victor François Fétique qui lui sont généreusement prêtés par Canimex Inc.&nbsp;Julien Siino rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2020.

Julien

Né à Londres, Edward Liddall commence ses études au Royal College of Music en 2001 et obtient un Bachelor de musique au King’s College de l’Université de Cambridge en 2011 sous la direction de Thalia Myers. Il est diplômé en 2014 de la Guildhall School of Music and Drama sous la direction de Caroline Palmer. Au cours de sa formation, il participe aux rencontres internationales pour jeunes musiciens Prussia Cove où il suit les master classes de Thomas Adès et Malcolm Martineau. Premier prix de pianiste accompagnateur au Maureen Lehane Awards en 2015, il est finaliste du Young Classical Artists Trust au Wigmore Hall en 2017. Il accompagne le violoniste Amarins Wierdsma en tournée au Pays-Bas et en Slovaquie dans le cadre du projet The New Masters. Il tient un rôle à la fois musical et théâtral dans la pièce d’Iain Burnside intitulée Why Does The Queen Die ? au festival de Lieder d’Oxford. En 2014, il participe avec le ténor Edmund Hastings et le violoniste Michael Foyle au spectacle de Jean-Luc Révol Où donc est tombée ma jeunesse? à la Comédie de Picardie. Il est régulièrement l’invité des studios de radio pour des émissions musicales à la BBC (Radio 3) ou encore à la Radio nationale hollandaise. En juillet 2018, il suit la résidence d’été L’Art du récital au Festival d’Aix-en-Provence où il accompagne la soprano Louise Kemény sous la direction de Stéphane Degout et d’Alain Planès. Edward Liddall rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2018.

Liddall

Félix Ramos obtient en 2016 son Diplôme d’État en piano et accompagnement au Centre d’études supérieures de Musique et de Danse de Poitou-Charentes et un prix de perfectionnement en accompagnement au Conservatoire à Rayonnement régional de Versailles. Entré au Conservatoire national supérieur de Musique et de Danse de Paris en 2017, il étudie la direction de chant avec Erika Guiomar, l’accompagnement au piano avec Jean-Frédéric Neuburger, la mélodie et le Lied avec Jeff Cohen. Au piano, il bénéficie des conseils de Jean-Luc Ayroles, de Caroline Esposito et d’Emmanuel Strosser. Il est formé à la direction d’orchestre et de chœur par Catherine Simonpietri, Alexandre Piquion et Claire Levacher. Il participe, en 2019, à la résidence Mozart du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence. Chef de chant pour de nombreuses productions lyriques, il travaille auprès de chefs tels que Raphael Pichon, Marco Guidarini et Tito Cecherini. Particulièrement intéressé par la création contemporaine, il participe à la reprise de Macbeth de Pascal Dusapin, à l’Opéra de Rouen. Titulaire du Diplôme de professeur d’enseignement artistique, spécialité accompagnement, il enseigne au Conservatoire de Romainville et accompagne la classe de chant de Sophie Fournier. Il participe à de nombreuses productions lyriques, dont La Scala di seta de Rossini, à la Philharmonie de Paris et Le Barbier de Séville aux Soirées lyriques de Sanxay. Félix Ramos rejoint l’Académie de l’Opéra national de Paris en septembre 2020.

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